Au démarrage, les acteurs de l’économie sociale utilisent une multitude d’outils pour effectuer les différentes actions qui composent la gestion globale de leur projet. Excel, Google Docs, Trello, et bien d’autres sont utilisés pour communiquer, constituer une base de données clients, faire le suivi de leurs achats, de leurs stocks, de la comptabilité, etc.

Ces multiples actions peuvent générer des problèmes comme du double encodage, des pertes d’informations ou des erreurs dans les données. Cette dispersion engendre également la difficulté d’avoir une vision globale sur les activités de la structure et rend son pilotage complexe.

Par ailleurs, les acteurs de l’économie sociale n’ont pas toujours les moyens financiers de s’offrir un outil de gestion professionnel (licences à payer, limitation du nombre d’utilisateurs, lourdeur de la mise en place…).